« Le maire de Lamanon, Christian Nervi, a rapidement indiqué que ses administrés étaient particulièrement inquiets et remontés concernant les odeurs dégagées par l’usine, lui même ne pouvant que constater ces nuisances olfactives à répétition »
PREMIER COMITÉ DE SUIVI POUR L’USINE D’ENROBAGE DE LAMANON
« L’usine d’enrobage de Lamanon tant controversée a fait l’objet d’un premier comité de suivi lors duquel tous ses acteurs ont confié leurs sentiments contrastés »
« Le maire de Lamanon, Christian Nervi, a rapidement indiqué que ses administrés étaient particulièrement inquiets et remontés concernant les odeurs dégagées par l’usine, lui même ne pouvant que constater ces nuisances olfactives à répétition. L’entreprise Trabet, par la voix de Simon Sanchez, a confirmé cette problématique. Il a mentionné des « pics impactants » lorsque le vent est orienté nord-est et un impact plus fort lorsque la production démarre, en fonction des températures de chauffe, tout en précisant que l’usine adapte au mieux sa production pour éviter ces odeurs. La société a ainsi décidé de chauffer moins fort, 130° au lieu de 170°, Simon Sanchez confirmant être à l’écoute et vouloir s’adapter »
« L’absence de l’Agence régionale de santé à cette réunion a été plusieurs fois soulignée, le représentant de la sous-préfecture demandant son impérative présence sur le prochain comité de suivi. La mairie de Lamanon souhaite, pour sa part, une information de l’ARS, en particulier sur la conduite à tenir pour les écoles en cas de fortes odeurs »
« De son côté, l’association FNE13 n’en démordait pas : « c’est bien la chronique d’une catastrophe annoncée. La DREAL n’a pas du tout tenu compte des remarques de la population. La préfecture n’avait aucunement anticipé cette problématique de rénovation de l’autoroute, tout a été fait dans l’urgence, sans enquête publique »
PREMIER COMITÉ DE SUIVI POUR L’USINE D’ENROBAGE DE LAMANON
« L’usine d’enrobage de Lamanon tant controversée a fait l’objet d’un premier comité de suivi lors duquel tous ses acteurs ont confié leurs sentiments contrastés »
« Le maire de Lamanon, Christian Nervi, a rapidement indiqué que ses administrés étaient particulièrement inquiets et remontés concernant les odeurs dégagées par l’usine, lui même ne pouvant que constater ces nuisances olfactives à répétition. L’entreprise Trabet, par la voix de Simon Sanchez, a confirmé cette problématique. Il a mentionné des « pics impactants » lorsque le vent est orienté nord-est et un impact plus fort lorsque la production démarre, en fonction des températures de chauffe, tout en précisant que l’usine adapte au mieux sa production pour éviter ces odeurs. La société a ainsi décidé de chauffer moins fort, 130° au lieu de 170°, Simon Sanchez confirmant être à l’écoute et vouloir s’adapter »
« L’absence de l’Agence régionale de santé à cette réunion a été plusieurs fois soulignée, le représentant de la sous-préfecture demandant son impérative présence sur le prochain comité de suivi. La mairie de Lamanon souhaite, pour sa part, une information de l’ARS, en particulier sur la conduite à tenir pour les écoles en cas de fortes odeurs »
« De son côté, l’association FNE13 n’en démordait pas : « c’est bien la chronique d’une catastrophe annoncée. La DREAL n’a pas du tout tenu compte des remarques de la population. La préfecture n’avait aucunement anticipé cette problématique de rénovation de l’autoroute, tout a été fait dans l’urgence, sans enquête publique »
« Le collectif Défendons Lamanon dénonçait lui aussi, au quotidien, cette usine qui « pollue l’air que respirent les habitants de Lamanon », citant notamment un site suisse (iqair.com) mesurant justement la qualité de l’air dans le monde et celui de Lamanon, qu’il juge moyen. Le site recommande aux groupes sensibles d’éviter les activités de plein air et de porter des masques en extérieur, de fermer les fenêtres, d’utiliser un purificateur d’air »